LA FRANCE C'EST NOUS !!

BIENVENUE SUR CE BLOG DE SOUTIEN À DOMINIQUE DE VILLEPIN !! Nous, citoyennes, citoyens, avons décidé de participer dans cette aventure Présidentielle 2012, de plus en plus nombreuses et nombreux à être exaspérés par les calculs électoraux, par les discours creux et les promesses vaines. Pour une nouvelle tendance pour Mieux Vivre Ensemble. Nous pensons qu'un seul homme peut tenir ce pari : Dominique de Villepin !!



jeudi 28 juin 2012

Dominique De Villepin : « une souveraineté partagée avec l’Europe ». Europe 1

République Solidaire se porte bien : Nous allons nous mettre sur les rails...!!





Invité de Bruce Toussaint sur Europe 1 jeudi matin, l’ex-Premier ministre Dominique de Villepin a déploré le « grand contresens » que chacun fait « en imaginant que grande souveraineté européenne, c’est l’horreur ». « Aujourd’hui, l’indépendance n’a pas le même sens qu’à l’époque du Général de Gaulle », a-t-il assuré avant de développer sa propre vision de l’Europe, alors que les 27 se réunissent jeudi à Bruxelles.

«Je préfère être un pays équilibré financièrement dans le cadre européen, à partir d’une souveraineté partagée avec l’Europe. Je suis pour une union bancaire, pour union financière et surtout une union politique. Il faut un président de l’Europe, un gouvernement de l’Europe, un exécutif européen et il faut aussi une capacité législative. Ça veut dire qu’il faut un budget de l’Europe. Si nous voulons peser nous avons besoin de l’Europe », a assuré Dominique de Villepin.

L’ancien Premier ministre a dressé un message au président français. « Il faut qu’il choisisse et qu’il n’ait pas peur. Il faut à la fois plus de contrôles et donc avancer vers plus d’union politique, et en même temps, il faut plus de solidarité », a-t-il affirmé plaidant pour que « Français et Allemands (fassent chacun) la moitié du chemin ». C’est ainsi, a-t-il conclu, que « nous avancerons tous ensemble ».

mercredi 27 juin 2012

Villepin demande au gouvernement de revenir à la «réalité»



L'ancien Premier ministre a par ailleurs dit se poser la question d'un retour au sein de l'UMP.

L’ex-Premier ministre Dominique de Villepin a demandé mercredi au gouvernement d'«atterrir» face à une situation économique d’une «très grande gravité».

«Je suis pour que le gouvernement atterrisse tout de suite, il faut atterrir !», a lancé le fondateur de République solidaire sur BFMTV-RMC. Ce qui signifie «comprendre que nous sommes dans une situation d’urgence économique».

«Il y a eu une campagne politique, des promesses ont été faites, mais la réalité est là», qui «s’impose à nous», a-t-il dit.

«Nous ne pouvons pas faire comme avant, notre modèle économique prend l’eau de toutes parts, je ne parle même pas de notre modèle social», a insisté celui qui fut chef de gouvernement de Jacques Chirac.

Parmi les solutions qu’il préconise : la «souveraineté partagée avec les Européens», pour résister aux grands pays émergents. Ce qui suppose, «bien sûr», plus de contrôle européen sur les budgets nationaux.

«Dans la situation de marasme économique de l’Europe, nous devons accepter un peu plus d’inflation», a-t-il encore recommandé.

L’ex-Premier ministre, fondateur de son propre parti, République solidaire, a par ailleurs indiqué se poser la question d’un retour dans sa famille politique d’origine, l’UMP, en soulignant l’exigence de «rassemblement». Il avait annoncé en février 2011 qu’il quittait l’Union pour un mouvement populaire.

Interrogé sur ce point, il a répondu : «Je me pose la question. L’opposition a un choix à faire. Est-ce qu’elle veut peser, faire des choix positifs, constructifs au fil des prochaines années, se réorganiser pour laisser plus de place à la diversité ?»

Dominique de Villepin avait engagé une candidature à la présidentielle avant de jeter l'éponge, faute d’un nombre de parrainages suffisant. «J’ai vu Jean-François Copé, je vais voir Alain Juppé, François Fillon, Jean-Pierre Raffarin», a-t-il détaillé. «Nous avons besoin de nous rassembler, c’est l’exigence du moment».

Quant à l’inventaire des années Sarkozy réclamé par certains à l’UMP, Villepin aurait «souhaité qu’il soit fait en marchant». «Je n’ai pas cessé de poser une exigence critique» au fil du quinquennat.














source : AFP

mardi 19 juin 2012

Déjà 2 ans !! Que le temps passe vite Joyeux Anniversaire à République Solidaire...!!



Eh oui le 19 juin 2010 création de République Solidaire...!!


                        


Déjà 2 ans !! Que le temps passe vite Joyeux Anniversaire à République Solidaire et espérer que son action et son rôle seront toujours plus importants dans le futur, pour défendre et promouvoir nos libertés...!!

République Solidaire est un mouvement politique dont l'objet est de rassembler les citoyens attachés aux valeurs républicaines. Nous recherchons les voies d'un nouvel équilibre institutionnel et souhaitons des réformes porteuses de justice sociale. République Solidaire encourage le rayonnement de la France, dans le souci de son indépendance.

La vocation originelle du mouvement était de soutenir la vision de son candidat à l'élection présidentielle. Dominique de VILLEPIN a été empêché de se présenter.!!

Mais nous restons déterminés à défendre nos valeurs de rassemblement, d'indépendance et de solidarité.!!


C’est le 19 juin 2010, devant 6.000 personnes rassemblées à la Halle Freyssinet à Paris, qu’est né notre mouvement politique : République Solidaire. !!

Partant du constat que la politique menée actuellement dans notre pays ne donne pas les résultats attendus, qu’elle n’est pas à l’écoute des Français et ne répond pas non plus à leur aspiration collective, nous avons souhaité, avec et autour de Dominique de VILLEPIN, créer ce rassemblement ouvert aux citoyens de tous horizons, quelle que soit leur origine sociale ou politique.!!

Refusant le fatalisme, le cynisme ou l’indifférence, notre ambition est de proposer aux Françaises et aux Français une alternative.!!

La crise financière, économique et sociale que nous traversons depuis maintenant trois ans, a changé la donne. Alors qu’un nouveau Monde apparaît sous nos yeux, cette crise doit nous inciter à revoir profondément notre façon de faire de la politique.!!

Face à un pouvoir qui pratique le déni de réalité et dont la politique divise et ostracise les uns ou les autres, nous croyons, au contraire, que les défis auxquels nous sommes aujourd’hui confrontés sont si graves que c’est par le rassemblement de toutes nos énergies, au service de la France et de l’intérêt général, que nous pourrons à nouveau retrouver la maîtrise de notre destin collectif.!!

Orphelins aujourd’hui d’une certaine idée de la France, celle d’une nation ouverte au Monde et passionnément ancrée dans les principes républicains que sont la liberté, l’égalité et la fraternité, nous souhaitons placer l’exigence de justice sociale au cœur de notre projet. Nous croyons en une République Solidaire qui additionne les énergies et les talents, qui fait une place à chacun, qui respecte l’autre.!!

La France réconciliée à l’intérieur sera plus forte à l’extérieur, pour peser davantage sur la scène internationale et offrir à nouveau au Monde un message à la fois singulier et universel.!!

vendredi 1 juin 2012

Villepin "heureux" de l'abrogation de la circulaire sur les étudiants étrangers


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                                                 LE GRAND JOURNAL du 31/05/12 - P2 avec Dominique de Villepin

L'ancien Premier ministre Dominique de Villepin s'est dit "heureux" que le gouvernement ait décidé d'abroger la circulaire sur les étudiants étrangers car, a-t-il dit, l'accueil fait parti de la tradition française et sert l'intérêt et le rayonnement de notre pays.

Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, a confirmé jeudi l'abrogation de la très controversée circulaire Guéant, qui restreint la possibilité pour les étudiants étrangers diplômés de travailler en France.

"J'avais condamné cette circulaire et souhaité qu'elle soit révisée et je suis donc heureux que ce soit fait", s'est félicité Dominique de Villepin sur Canal+.
"Dans ma famille gaulliste, on a toujours défendu l'idée d'une France ouverte sur le monde et surtout soucieuse d'accueillir tous ceux qui aspirent à être formés dans notre pays", a-t-il souligné.

"Nous faisons partie, avec les Etats-Unis, le Royaume-Uni et le Canada, des pays qui accueillent et c'est non seulement la vocation mais c'est aussi l'intérêt de notre pays que de le faire", a-t-il fait valoir.

"C'est bon pour le rayonnement de la France, la compétitivité française, la capacité des étudiants que nous avons formés à créer des emplois en France ou dans leur pays d'origine", a-t-il conclu.

lundi 21 mai 2012

Dominique De Villepin n'exclut pas de participer à un redémarrage de l'UMP !!

Dominique de Villepin souhaite que l'UMP "retrouve sa vocation" et n'a pas exclu de participer à un redémarrage de ce parti qui était naguère le sien. Comme on lui demandait lundi sur i-Télé s'il était prêt à participer à l'automne à un redémarrage de l'UMP, l'ex-premier ministre a répondu : "Nous verrons où en sera l'UMP dans quelques semaines".



Mais "je souhaite que l'UMP retrouve sa tradition, sa vocation, à la fois un esprit de rassemblement et une place faite pour la diversité". S'y impliquera-t-il ? "Nous verrons, mais je me réjouis que Jean-François Copé ait décidé d'ouvrir le mouvement à la diversité et à une meilleure représentation des différents courants de pensée", a répondu M. de Villepin, fondateur de son propre parti, République solidaire.





(AFP)

lundi 14 mai 2012

Dominique De Villepin : Hollande a "l'étoffe du poste" !!



Invité de l'émission "Les 4 Vérités" sur France 2 lundi 14 mai, Dominique de Villepin a affirmé que François Hollande avait "l'étoffe du poste" et qu'il était "préparé". Il a aussi critiqué la stratégie de l'UMP pendant la campagne présidentielle.

Sur France 2, lundi, l'ancien premier ministre n'a pas mâché ses mots contre la campagne présidentielle menée par le parti de Nicolas Sarkozy.

"L'UMP a dérivé"

"Il faut être fidèle à ses valeurs et les valeurs de l'UMP c'est le rassemblement, les valeurs humanistes. L'UMP a dérivé, il faut éviter de se laisser emporter", a affirmé Villepin.

"Il faut être réaliste, ce serait une erreur de jouer ces élections législatives comme le troisième tour de la présidentielle", a-t-il ajouté. Une ligne de conduite prônée par de nombreux ténors de l'UMP. Entre les deux tours, Dominique de Villepin s'est dit "effrayé" par la campagne de son ex-rival et par "ses gages à l'extrémisme".

Hollande "est capable de réconcilier"

Villepin a ensuite loué les qualités du nouveau Président, qu'il connait depuis 35 ans. "Il a concentré sa vie sur cet objectif, il est préparé", assure son ancien camarade de l'ENA.

Il a ensuite affirmé que François Hollande avait "l'étoffe du poste". "Il est préparé", a-t-il dit, "c'est important pour nous, pour les Français, pour la France". Villepin a aussi loué la discrétion du président élu. "Ce qui est de bon augure, c'est sa capacité à prendre ses marques, à rester silencieux".

Et de poursuivre : "Hollande est capable de faire la synthèse, de rééquilibrer les choses. C'est un homme capable de réconcilier".

"Une voix indépendante"

Villepin a affirmé lui-même "avoir envie de rassembler et de se situer au-delà des partis". "Rassembler, c'est faire des choix et prendre en compte la pensée des autres", a-t-il dit.

Dominique de Villepin refuse toujours de dire pour qui il a voté. "J'ai appelé à un vote en conscience selon la tradition gaulliste, mais je ne souhaite pas le dire, je veux être fidèle à cette tradition gaulliste", raisonne ce proche de Jacques Chirac. "Je veux être une voix indépendante, je suis fidèle à la tradition gaulliste."

samedi 12 mai 2012

La nouvelle donne européenne !!

L’élection française change la donne en Europe. Plus qu’aucune élection des dernières années, l’élection de dimanche dernier a été lue par les opinions publiques européennes et mondiales à l’aune de la grande crise que nous traversons et de leurs propres préoccupations. Qu’on lise les journaux européens ou qu’on rencontre des responsables, comme je l’ai fait cette semaine en Europe centrale, il en ressort une idée : une stratégie centrée exclusivement sur l’austérité est vouée au rejet et à l’échec et cela même s’il est légitime de prendre en compte les préoccupations des Allemands mises en avant par Angela Merkel face au risque de laxisme.

Il y a là un paradoxe majeur. A l’heure où ils semblent avoir perdu confiance, les Français feraient-ils encore l’histoire, mais sans en avoir clairement conscience ? La nouvelle, au-delà de l’élection d’un homme, c’est que les Français ont retrouvé le levier d’Archimède perdu depuis longtemps. Contre toute attente, il y a aujourd’hui des marges de manœuvre inespérées pour la France comme pour l’Europe. S’il y a un état de grâce, c’est bien là. C’est aussi un fait politique dont il faut prendre acte dès maintenant, sans attendre l’issue des législatives, et qui s’impose à tous, à gauche comme à droite.

Ne laissons pas passer l’histoire, car la fenêtre de tir sera brève, tant les logiques politiciennes vont essayer de reprendre le dessus. La France doit faire un choix et l’assumer clairement.

Il ne s’agit plus pour notre pays d’endosser une stratégie d’austérité sans fin. L’exigence de croissance est désormais sur la table et personne n’a rien à gagner à faire marche arrière.

Il ne s’agit pas davantage pour la France de prendre la tête des pays du sud endettés pour rompre les digues de la rigueur. L’élection grecque, au même moment, est un signal d’alerte que nous devons entendre. Ne laissons pas se déchirer toute l’Europe en camps antagonistes.

Il y a un chemin d’équilibre à trouver qui ne saurait être un chemin de confrontation, mais le choix d’un compromis constructif. Bâtir ce nouveau consensus, c’est la responsabilité de la France aujourd’hui, en s’appuyant sur l’esprit d’union nationale et d’union des Européens autour de l’intérêt commun.

Comment faire ?

Première exigence, gardons nous de faire des législatives un troisième tour : ni revanche des tenants de l’austérité, ni surenchère des partisans du laisser-aller financier. Ce serait une erreur historique alors même que nous avons besoin d’un débat politique vigoureux, équilibré et tourné vers l’avenir. Le peuple français a parlé et ce message de croissance doit désormais être incorporé par les programmes de toute la gauche comme par ceux de la droite, qui doit comprendre qu’on ne gagne pas une élection en menant la bataille d’hier. Sachons-nous adapter à ces nouveaux enjeux, dans le respect de nos convictions et de nos différences.

Deuxième exigence, soyons dès aujourd’hui en initiative sur le front européen. François Hollande a aujourd’hui la lourde tâche d’imprimer une marque et une vision en faisant levier sur les prochains rendez-vous, le conseil informel de l’UE, la rencontre du G8, le sommet de l’OTAN. C’est dans les premiers jours que se cristallise l’image mondiale d’une présidence. Cela suppose un axe fort et c’est celui de la réconciliation.

Réconciliation européenne, d’abord, grâce à une stratégie de croissance et de stabilité qui aille au-delà d’un compromis boiteux entre relance de la consommation et rigueur budgétaire et qui évite les affrontements stériles. Il faut des réformes structurelles pour la compétitivité, pour l’innovation et la recherche en Europe, pour une politique énergétique commune. Il faut des euro-obligations affectées au financement de grands projets. L’exigence prioritaire, c’est de refonder la relation franco-allemande, de façon plus ambitieuse pour nos deux pays et pour l’Europe. Mais il faut également sortir du huis clos franco-allemand en développant une approche plus collégiale de l’Europe.

Réconciliation des rives de la Méditerranée ensuite en faisant de la présidence de François Hollande le temps du rapprochement et du dialogue stratégique, notamment avec le Maghreb. La relation avec l’Algérie reste un frein psychologique de notre politique étrangère et même de notre identité mondiale. Nous devons retrouver une politique arabe dans un contexte où stabilité ne saurait plus être synonyme de statu quo.

Réconciliation du nord et du sud dans une mondialisation qui multiplie les incompréhensions, enfin. Le G8-G20, auquel Nicolas Sarkozy a su donner une nouvelle impulsion au lendemain de la crise de 2008, doit s’atteler à une régulation de la mondialisation fondée sur des bases crédibles de réciprocité et de juste échange. Le cycle de Doha, bloqué, doit laisser la place à une nouvelle approche. A l’échelle du monde, nous devons mesurer à quel point nous devons aller plus loin dans notre partenariat avec certains pays-clé comme la Russie ou la Turquie, indispensables à toute ambition mondiale, sans parler de la Chine avec laquelle nous devons poser les bases de la confiance, à l’heure où elle aussi s’engage dans le renouvellement de ses dirigeants.

Ne gâchons pas cette chance historique de faire entendre le message de la France. C’est le combat du gaullisme, c’est l’héritage d’un demi-siècle de construction européenne, c’est la vocation de la France depuis toujours de chercher le dialogue et de jeter des ponts.

Dominique de VILLEPIN

Ancien Premier Ministre